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9. Modèle du Photon I. - Forum de l'article réservé (0)

Synthèse du Modèle du Photon
Partie I.


... en bref ...

La lumière est composée de photons. Ceux-ci ont nécessairement une masse non nulle.

La masse "Maupertuisienne" est la masse qui pourrait se matérialiser par conversion totale de l'énergie ondulatoire du photon :

\(mo = \frac{h}{\mathrm{ λo } Co} \)

Louis De Broglie pensait pouvoir calculer la masse réelle en supposant une variation infime de la vitesse de la lumière. Or celle-ci ne varie "relativement" pas. Mais il est possible de déterminer une masse par l'utilisation de la formule de calcul du travail de son déplacement, ce qui donne :

\(m = \frac{h}{Co ^{3} \mathrm{ λo }} .g.d\)

Où l'on voit que cette masse varie avec l'intensité du champs de gravité. La variation de cette masse est ce qui rend possible l'invariance "relative" de la vitesse locale de la lumière.

Il est aussi possible de calculer la déperdition de vitesse par la génération de masse :

\(m.Co ^{2} = mo \left( Co ^{2} - V ^{2}\right) \)     d'où     \(V = Co \sqrt{1 - \frac{m}{mo} }\)

Cette masse, pas facile à mesurer, varie en fonction des conditions dans lesquelles ont effectue les mesures.

Les expériences de mesure de masse des photons ne fond donc qu'indiquer les capacités des supports à les absorber et/ou à les réémettre en fonction des différentes longueurs d'ondes étudiées.


I. Invariance de la vitesse de la lumière


  Pour la suite des applications numériques nous aurons besoin d'une haute précision variable. Ainsi pour une précision de 30 chiffres significatif, soit \(\mathrm{ Precision } = 30\), la valeur de Π est \(Π = 3.14159265358979323846264338327950288\) . C'est donc la précision avec laquelle nous commencerons.


     1/ Onde de De Broglie et le calcul de la masse du photon

  En 1924, Louis De Broglie, posait les bases de la physique quantique en formulant la dualité onde particule par une équation simple reliant la longueur d'onde λ et la quantité de mouvement p d'une particule quelconque :

             \(\mathrm{ λ } = \frac{h}{p} \)                             où h est la constante de Planck                      \(h = 6.6267004e-34\)  

  La quantité de mouvement d'une particule animée d'une vitesse négligeable face à celle de la lumière est :

             \(p = m.V\)                         où m est la masse de cette particule et V sa vitesse
                          
  Lorsque la vitesse de la particule n'est plus négligeable alors il faut tenir compte de la transformation Relativiste de la masse et on a : 

             \(p = \frac{m.V}{\sqrt{1 - \frac{V ^{2}}{Co ^{2}} }} \)                    où Co est la vitesse de la lumière                   \(Co = 299792458\)

  Notant que la vitesse de la lumière C est modifiée en v, très proche de C, alors si nous utilisons la notation C de fait nous sommes confus. C'est pour cela que nous noterons Co comme étant la valeur de référence maximale et indépassable dans le milieu de la vitesse de la lumière. Le "o" pouvant être lu comme o pour "origine". Co peut alors être lue comme la vitesse de la lumière à l'origine du phénomène et qui prend la valeur limite connue : 299792458 m.s-1.

  Ainsi si cette particule est de masse non nulle alors il est possible d'écrire λo telle que :

(1.I)      \(\mathrm{ λo } = \frac{h}{m V} \sqrt{1 - \frac{V ^{2}}{Co ^{2}} }\)             d'où la masse de la lumière :           \(m = \frac{h}{\mathrm{ λo } V} \sqrt{1 - \frac{V ^{2}}{Co ^{2}} }\)             de valeur faible si v très proche de Co

  Remarquons que m n'est pas la masse Maupertuisienne de la lumière, mo, telle que  :

                                                                                                                  \(mo = \frac{h}{\mathrm{ λo } Co} \)                          de valeur élevée    mo >> m

  La masse dite "Maupertuisienne" ou encore inertielle représente donc la quantité de masse qu'il serait possible de matérialiser à partir de la quantité totale d'énergie contenue par le photon.

  Ici nous avons aussi préciser la notation de λ en λo car c'est la longueur d'onde qui est à l'origine du phénomène présenté par Louis De Broglie alors que les variables m et v en sont les points d'aboutissement.

  Tout comme Louis De Broglie, nous souhaitons émettre l'hypothèse que la masse de la lumière, m, n'est pas nulle. Et c'était donc d'ailleurs son idée de supposer qu'une légère variation de la vitesse de la lumière (dv = Co-v), donc prise sur une durée de 1 seconde, permettait la création de la masse du photon.

  Bien qu'élégante cette formulation qui fait apparaitre l'influence de la déviation Relativiste, par le coefficient gamma, ne donne aucun moyen de calculer la vitesse v supposée proche de Co. En effet la masse m et la vitesse V sont toutes deux inconnues. De plus si nous attribuons une vitesse v à la lumière, de plus variable en fonction de sa longueur d'onde, alors il faudrait observer un décalage de temps dans la transmission des données en fonction des longueurs d'ondes. Et ceci n'est pas observé !

  Deux solutions, la première, celle de Louis De Broglie, serait que le phénomène existe mais serait extrêmement difficile à observer, et la deuxième solution, celle  de la Relativité, serait qu'aucune variation de vitesse ne serait liée à aucune variation de masse. Nous allons voir que c'est vraisemblablement la solution une qui prévaut et pour cela sortons de l'équation de De Broglie (1.I) la vitesse v :


(1.I)      donne    -->      \(\frac{m ^{2} \mathrm{ λo } ^{2}}{h ^{2}} = \frac{1}{V ^{2}} \left( 1 - \frac{V ^{2}}{Co ^{2}} \right) \)      -->     \(\frac{m ^{2} \mathrm{ λo } ^{2}}{h ^{2}} + \frac{1}{Co ^{2}} = \frac{1}{V ^{2}} \)     -->    \(V = \sqrt{\frac{1}{\frac{m ^{2} \mathrm{ λo } ^{2}}{h ^{2}} + \frac{1}{Co ^{2}} } }\)


(1.II)                                             soit la vitesse selon De Broglie     -->    \(V = Co.\sqrt{\frac{1}{1 + \frac{m ^{2}}{mo ^{2}} } }\)

  Un autre point de contradiction dans cette formulation montre la proportionnalité de m avec λo mais ne tient pas compte d'aucun champs de pesanteur. Or nous savons que la longueur d'onde évolue dans le champs de gravité aussi par la Relativité. Nous allons voir ci-dessous que cet effet, du à l'accélération de la pesanteur g, se trouve déjà contenu dans la masse m.

  Rappelons que dans le Modèle des Aions ce sont les frottements contre le vide qui donnent lieux à la matérialisation de la masse. Or le vide prend cette consistance à partir de la gravité et si cette gravité vient à disparaitre (hors de tout champs de pesanteur) alors il ne reste seulement que le passage du temps. A cette limite alors g = G et le vide se transmet donc dans le temps sans consommation apparente.

  Ainsi l'idée de De Broglie ne peut donc pas s'appliquer en l'état à la lumière et ses photons. C'était d'ailleurs la position défendue par Louis De Broglie qui, en fin de carrière avait indiqué ne pas apprécier la généralisation de la formule. Il pensait que : « … que la particule doit être le siège d’un mouvement périodique interne et qu’elle doit se déplacer dans son onde de façon à rester en phase avec elle ...  ».

  Ensuite avec les postulats de la Relativité tout semble en rester là mais heureusement nous allons emprunter un autre chemin pour caractériser la lumière. En effet si celle-ci a une masse et si elle bouge alors elle effectue nécessairement un travail.


     2/ Masse de la lumière par le travail de son déplacement

WriterData


  Nous supposerons que l'origine de la masse de la lumière se trouve dans les frottements qu'elle opère lors de son déplacement contre le vide. Ainsi le travail W de son déplacement pourra être égale à l'énergie de masse des photons générés :

(2.I)               \(W = mo.g.d\)            où mo est la masse Maupertuisienne de la lumière à l'origine du phénomène telle que  : 

(2.II)                                                                             \(mo = \frac{h.\mathrm{ νo }}{Co ^{2}} \)            avec νo la fréquence de l'onde lumineuse

                                                    g est l'accélération locale du champs de pesanteur

                                                    d est la distance de parcours de l'onde pendant le phénomène

  Comme cette énergie est matérialisée sous forme de masse de photons m alors on peut aussi écrire :

(2.III)             \(W = m.Co ^{2}\)

  La formulation suivante s'obtient alors en égalant les 2 égalités, (2.I) et (2.III), précédentes : 

                       \(m.Co ^{2} = mo.g.d\) 

  Puis en remplacant mo par la valeur totale de l'énergie lumineuse, (2.II) :

                       \(m.Co ^{2} = \frac{h.\mathrm{ νo }}{Co ^{2}} g.d\)

  Finalement la masse des photons matérialisée, due aux frottements contre le vide, est :

                       \(m = \frac{h.\mathrm{ νo }}{Co ^{4}} g.d\)

                       ou si on utilise la longueur d'onde :        \(\mathrm{ λo } = \frac{Co}{\mathrm{ νo }} \)

                       \(m = \frac{h}{Co ^{3} \mathrm{ λo }} g.d\)

  Mais cette formulation ne fait pas apparaitre l'influence de la relativité comme le calcul présenté par Louis De Broglie. Pour remédier à cela il faut corriger la création de masse m par le coefficient relativiste γ, fonction d'une vitesse v très proche de Co, de façon à ce que :

                       \(W = mo.g.d.\sqrt{1 - \frac{v ^{2}}{Co ^{2}} }\)              avec le coefficient relativiste                 \(\mathrm{ γ } = \sqrt{1 - \frac{v ^{2}}{Co ^{2}} }\)

  Le nouveau calcul de la très faible masse de lumière générée est alors :

                       \(m = \frac{h}{Co ^{3} \mathrm{ λo }} .g.d.\sqrt{1 - \frac{V ^{2}}{Co ^{2}} }\)

  De plus la longueur d se définie comme la distance parcourue par l'onde λ avec sa vitesse propre v pendant le même temps de parcours t=to . Alors de par l'influence de la relativité cette distance d paraitra plus longue à parcourir pour λ et nous pouvons ajouter une nouvelle correction relativiste :

                       \(m = \frac{h}{Co ^{3} \mathrm{ λo }} g \frac{do}{\sqrt{1 - \frac{V ^{2}}{Co ^{2}} }} .\sqrt{1 - \frac{V ^{2}}{Co ^{2}} }\)        avec la transformation         \(d = \frac{do}{\sqrt{1 - \frac{V ^{2}}{Co ^{2}} }} \)         soit  d > do

  Finalement par simplification des coefficients relativistes, γ, nous obtenons la masse de la lumière par :

                                                                                    \(m = \frac{h}{Co ^{3} \mathrm{ λo }} .g.d\)

  Et puisque pour t = to = 1 seconde l'onde parcours la distance do = Co alors plus simplement :

                                                                                    \(m = \frac{h.g}{Co ^{2} \mathrm{ λo }} \)

       ou en fonction de la masse Maupertuisienne       \(m = mo \frac{g}{Co} \)


       ou encore avec la fréquence d'origine                  \(m = \frac{h.\mathrm{ νo }.g}{Co ^{3}} \)


  En application numérique nous pouvons prendre les variables suivantes et rester dans une précision des calculs de \(\mathrm{ Precision } = 40\) :

       \(h = 6.62607004e-34\)              la constante de Planck                  

       \(Co = 299792458\)                       la vitesse de la lumière                 

       \(g = 9.80665\)                               l'accélération normale de la pesanteur


  Soit une lumière de couleur verte de longueur d'onde :  \(\mathrm{ λo } = 5.5e-7\) en m

       elle contient une masse totale Maupertuisienne :  \(mo = \frac{h}{Co \mathrm{ λo }} = 0.4018580104749423925558770151825257968055e-35\)  en kg

       mais ne donne que la masse réelle :   \(m = \frac{h g}{Co ^{2} \mathrm{ λo }} = 0.1314536357823949598477921459565109074639e-42\)    en Kg     

       correspondant à une longueur d'onde équivalente de :  \(\mathrm{ λ } = \frac{h}{m Co} = 16.8136776473107534173239587422820229130233\) en m

  Afin de mettre en évidence une différence de vitesse de la lumière entre la constant Co et la vitesse V nous devons augmenter la précision de notre logiciel à :

        \(\mathrm{ Precision } = 100\)

  Ce qui permet de calculer la célérité de la lumière verte pour la formulation de De Broglie et au niveau du sol de la Terre avec g :

        \(V = Co \sqrt{\frac{1}{1 + \frac{m ^{2}}{mo ^{2}} } } = 0.2997924579999998396050640098158793234326026404557547782134804032245520661313247619099279947803598744e9\)

  Soit un écart de vitesse de :

        \(Co - V = 0.1603949359901841206765673973595442452217865195967754479338686752380900720052196401255606756208006728e-6\)

  On comprends alors que l'opinion de De Broglie sur le sujet était qu'il n'était pas possible de mesurer ni la masse ni la modification de vitesse de la lumière et qu'alors il admettais, à priori, que la célérité lumineuse était constante et que la masse des photons était négligeable...

  MAIS cette écart de vitesse n'est pas réalisé car il en est pour la lumière comme pour le son ! En effet ce n'est pas la hauteur du son qui permet au son de se déplacer plus ou moins vite mais cela dépend de l'air et principalement de la température de l'air. Ainsi la gravité a le même rôle dans le vide que la température pour l'air.

  Cela s'explique par le fait que ce n'est pas un projectile qui se déplace dans l'air tout comme ce n'est pas un projectile qui se déplace dans le vide pour propager la lumière mais une onde. Cette onde génère sur son passage une perturbation et c'est cette perturbation qui se traduit par une prise de masse des photons.

  On peut aussi exprimer la masse réelle par la formule suivante en revenant à une précision plus faible \(\mathrm{ Precision } = 30\) :

         \(m = mo \frac{g}{Co} = 0.131453635782394959847792145956e-42\)

         avec    \(\frac{g}{Co} = 0.327114633417495779697032938700545962367e-7\)     simple coefficient expliquant la variation de masse avec g !


  Par l'isolation de la longueur d'onde λo et en se placant dans les conditions où do = Co et g = 9.803 alors on peut expliciter la même formule avec μ qui a les dimensions d'une masse linéique en kg.m-1 et que l'on peut donc appeler une constante locale de masse linéique :

         \(\mathrm{ μ } = \frac{h g}{Co ^{2}} = 0.000000000000007229949968031722e-35\)       en   kg.m-1     soit une masse linéique

         \(m = \frac{\mathrm{ μ }}{\mathrm{ λo }} = 0.1314536357823949598477921313815059618241e-42\)


  Nous pouvons écrire la fonction m(x) où x représente la longueur d'onde :

         soit      \(m\left( x\right) = \frac{\mathrm{ μ }}{x} \)

  Par exemple pour la longueur d'onde du rayonnement cosmologique à 2.8°K, ou pour la longueur d'onde utilisée par Roger Coudert, on trouve des masses de :

         \(m\left( 0.00106\right) = 0.682070751701105923738544077923e-46\)   kg  pour la longueur d'onde cosmologique

         \(m\left( \mathrm{ λo }\right) = 0.1314536357823949598477921313815059618241e-42\)   kg  pour la longueur d'onde de Coudert     \(\mathrm{ λo } = 5.5e-7\)

  Afin de pouvoir afficher la courbe de m(x), compte-tenu des capacités de traitement du logiciel, nous devons effectuer un changement d'échelle sur l'axe des y par le coefficient multiplicateur valant 10+50 et affichons une longueur d'onde variant de 10-14 à 1 mètre :

     

  Les échelles sur x et sur y sont aussi logarithmiques. Afin de mieux cerner le contenu de cette courbe nous allons maintenant préciser quelques valeurs. Ceci nous permettra de situer intervalle des valeurs acceptables pour la matérialisation de l'énergie des photons.


     3/ Éléments de preuve par le calcul des valeurs aux bornes


  Sachant que lorsque l'ensemble des valeurs calculées entre dans le cadre des valeurs acceptables alors il est probable que le calcul soit correct ou qu'à défaut il donne un bon ordre de grandeur. 

  A la surface de la Terre on trouve : 

          \(g = 9.80665\)                  l'accélération locale de la pesanteur donc au niveau du sol

          \(\mathrm{ mTerre }\left( x\right) = \frac{h g}{Co ^{2}} \frac{1}{x} \)

limite des gamma  
\(\mathrm{ λgamma } = \frac{Co}{10e24} = 0.299792458e-16\)
  \(\mathrm{ mTerre }\left( \mathrm{ λgamma }\right) = 0.241165171941440994877481781946e-32\)
limite de Coudert
\(\mathrm{ λcoudert } = 5.5e-7\)
  \(\mathrm{ mTerre }\left( \mathrm{ λcoudert }\right) = 0.131453635782394959847792131381e-42\)
limite cosmologique         
\(\mathrm{ λcosmologique } = 0.00106\)         
  \(\mathrm{ mTerre }\left( \mathrm{ λcosmologique }\right) = 0.682070751701105923738544077923e-46\)

  En dehors de tout champs de pesanteur dans un vide parfait on aurait donc g = G la constante gravitationnelle : 

         \(G = 6.67430e-11\)        

  La valeur limite de g hors de tout champs est donc faible ce qui nécessite d'augmenter la précision à \(\mathrm{ Precision } = 40\)

         \(\mathrm{ mMin }\left( x\right) = \frac{h G}{Co ^{2}} \frac{1}{x} \)

limite des gamma
\(\mathrm{ λgamma } = \frac{Co}{10e24} = 0.299792458e-16\)
  \(\mathrm{ mMin }\left( \mathrm{ λgamma }\right) = 0.1641344095168849333983344807563181169984e-43\)
limite de Coudert
\(\mathrm{ λcoudert } = 5.5e-7\)
  \(\mathrm{ mMin }\left( \mathrm{ λcoudert }\right) = 0.8946592376626459397573270380380055877252e-54\)
limite cosmologique         
\(\mathrm{ λcosmologique } = 0.00106\)   \(\mathrm{ mMin }\left( \mathrm{ λcosmologique }\right) = 0.464209981806089874402386670680097238914e-57\)


  Au coeur d'un trou noir où le potentiel atteint son maximum Co^2 on calcule : 

        \(Co ^{2} = 89875517873681764\)         la valeur maximum de g qui permet de réduire la précision à \(\mathrm{ Precision } = 20\)

        \(\mathrm{ mMax }\left( x\right) = \frac{h Co ^{2}}{Co ^{2}} \frac{1}{x} \)

limite des gamma
\(\mathrm{ λgamma } = \frac{Co}{10e24} = 0.299792458e-16\) 
 \(\mathrm{ mMax }\left( \mathrm{ λgamma }\right) = 0.2210219057612178949e-16\)
limite de Coudert
\(\mathrm{ λcoudert } = 5.5e-7\)
 \(\mathrm{ mMax }\left( \mathrm{ λcoudert }\right) = 0.12047400072727249779e-26\)
limite cosmologique          
\(\mathrm{ λcosmologique } = 0.00106\)         
 \(\mathrm{ mMax }\left( \mathrm{ λcosmologique }\right) = 0.62510094716981013005e-30\)



  On observe que l'ensemble de ces valeurs sont comprises dans l'intervalle constitué par un minimum des minimums et un maximum des maximums : 

       au minimum : 

                        \(\mathrm{ mMin }\left( \mathrm{ λcosmologique }\right) = 0\)       pour la longueur d'onde cosmologique dans le vide parfait

       au maximum :

                        \(\mathrm{ mMax }\left( \mathrm{ λgamma }\right) = 0.2210219057612178949e-16\)       pour la longueur d'onde limite des photons gamma au c½ur d'un trou noir


  La masse dite de Planck, mPlanck communément connue, indique la valeur maximale "matérialisable" pour une particule ponctuelle :

                        \(\mathrm{ mPlanck } = 2.17651e-8\)

  Cette masse de Planck est bien largement supérieure à la masse maximale matérialisable pour un photon gamma.

  Remarquons aussi que la masse trouvée pour la longueur d'onde cosmologique au c½ur d'un trou noir se rapproche de la masse de l'électron. Ceci s'explique par le fait que le rayonnement cosmologique est dû au mouvement de l'électron et qu'à la limite le rayonnement de corps noir qu'il émet doit rester inférieur ou égal à sa masse totale, ce qui est bien vérifié ici :       

                        \(\mathrm{ mMax }\left( \mathrm{ λcosmologique }\right) = 0.62510094716981013005e-30\)

      pour la longueur d'onde cosmologique au c½ur d'un trou noir

                        \(\mathrm{ melectron } = 9.109e-31\)          masse de l'électron communément connue

  Ça c'est fait, mais il nous reste encore à trouver le moyen de calculer la vitesse V, ce qui faisait aussi défaut à la formulation de Louis De Broglie.


     4/ Calcul des différentes vitesses de la lumière


  Une autre méthode pour trouver V que celle de De Broglie vue ci-dessus en (1.II), consiste à prendre en compte le phénomène de génération de cette masse. En effet la perte de vitesse de la lumière est corrélative au gain de masse réelle et échangées sous forme d'énergie.

  Nous pouvons alors faire l'hypothèse que l'énergie de désintégration de la masse de photons générée est égale à l'énergie de l'intégration perdue et prise sur l'énergie totale de la lumière, soit :

          \(m.Co ^{2} = mo \left( C ^{2} - V_{1} ^{2}\right) \)        où m est la masse réelle acquise par le déplacement de la masse mo

                                                          où mo est la masse maupertuisienne totale à l'origine du rayon lumineux :     \(mo = \frac{h}{\mathrm{ λo } Co} \)

          et où V12 est le potentiel de perte de vitesse des photons ralentis et déduite d'une relation de potentiels impliquant V telle que :

                                   \(V ^{2} = Co ^{2} - V_{1} ^{2}\)                soit                  \(V_{1} ^{2} = Co ^{2} - V ^{2}\)

  Il devient alors possible de déterminer la vitesse V des photons en fonction de leur masse m :

         \(m.Co ^{2} = mo.\left( Co ^{2} - V ^{2}\right) \)    -->    \(m = mo \frac{Co ^{2} - V ^{2}}{Co ^{2}} \)    -->    \(\frac{m}{mo} = 1 - \frac{V ^{2}}{Co ^{2}} \)    -->    \(V ^{2} = Co ^{2} \left( 1 - \frac{m}{mo} \right) \)


         soit :       \(V = Co \sqrt{1 - \frac{m}{mo} }\)      

         avec :     \(\mathrm{ λo } = 5.5e-7\)      pour une lumière de couleur verte     \(m = 0.1314536357823949598477921313815059618241e-42\)

                                                                                                              \(mo = 0.4018580104749423925558770151825257968055e-35\)

         alors on calcul, avec une \(\mathrm{ Precision } = 40\), une vitesse de :     \(V = Co \sqrt{1 - \frac{m}{mo} } = 0.299792453096674959901265346609791179924e9\)

Cette vitesse est indépendante de λo ! En effet la longueur d'onde se simplifie dans le quotient m/mo, ainsi que Co 1 fois et h :

          \(V = Co \sqrt{1 - \frac{h g}{Co ^{2} \mathrm{ λo }} \frac{\mathrm{ λo } Co}{h} }\)      soit la vitesse        \(V = Co \sqrt{1 - \frac{g}{Co} } = 0.2997924530966749599012653466097906362647e9\)

                                    et le coefficient modificateur de Co   \(1 - \sqrt{1 - \frac{g}{Co} } = 0.1635573180462977041734055018734079330558e-7\)

  La différence de vitesse de la lumière est alors :       \(Co - V = 4.9033250400987346533902093637352569087498\)

  La vitesse V1 est aussi indépendant de la longueur d'onde λo :   \(V_{1} = \sqrt{Co ^{2} - V ^{2}} = 0.54221395299694197375255543126485158902695e5\)

                                                                                    ou encore :   \(V_{1} = \sqrt{Co g} = 0.54221395299694197375255543126485158902695e5\)

  Comme nous l'avions pressenti ci-dessus nous constatons que la vitesse de la lumière est indépendante de λo et donc de mo !  Cela convient à ce que nous n'observons pas de décalage dans la transmission des informations entre les longueurs d'ondes sur les distances intersidérales donc extrêmement longues.

  Nous avons par contre attribué une masse réelle m à la lumière, c'est à dire différente et très inférieure à la masse Maupertuisienne mo, mais nous devons constater par les faits que les expériences ne sont pas à même de la mesurer distinctement. En tous cas pas avec la valeur calculée ci-dessus de l'ordre de 10-43 kg !

  De plus l'effet de la voile solaire n'explique la propulsion que par le simple échange d'énergie à partir de l'intégralité de la masse Maupertuisienne, mo.

  Tout porte à croire donc que cette masse est inexistante et donc non réelle. Pourtant nous allons voir que nous aurions tord de tirer trop vite cette conclusion sans avoir plus chercher d'explication.

  Aussi les expériences de Roger Coudert, réalisées avec des moyens modestes mais efficaces, expriment une masse, m, réelle mais variable en fonction du modèle expérimental et sans tenir compte de cet effet de voile solaire. Une première expérience de 2003, faite par la balance de Coudert, mesura 1,426.10-49 kg et une autre par gravimétrie trouva 6.907.10-38 kg.

  Par la contrainte nous sommes donc amenés maintenant à comprendre pourquoi cette masse réelle, m, ne semble pas directement mesurable : c'est parce qu'elle n'existe que lors de la propagation de la lumière dans un champs de gravité ! De manière analogue si un objet de mesure quelconque, donc autre qu'un champs de gravité, vient réagir avec elle alors il en déforme la valeur de masse.

  Ainsi lorsqu'un photon est absorbé par une surface il donne aussi de son énergie cinétique, résultat de la transformation totale ou partielle de son énergie Maupertuisienne et fonction du matériaux utilisé. Lorsque le support renvoi la lumière alors les photons sont d'abord absorbés, éventuellement transformés en masse et ensuite réémis et retransformés en énergie Maupertuisienne. La masse est donc devenue, pendant le bref moment du contact, le support de transmission de l'énergie cinétique par l'action de la masse.

  Lors du déplacement de la lumière dans le vide c'est la valeur du champs de gravité local qui indique quelle est l'intensité des frottements des photons contre le vide et donc dans quelle mesure la masse m peut être générée.

   Les expériences de mesure de masse des photons ne fond donc qu'indiquer les capacités des supports à les absorber et/ou à les réémettre en fonction des différentes longueurs d'ondes étudiées.

  Mais, comme disaient Roger Coudert et Louis De Broglie, nous devons constater que : cette masse est bien réelle car non nulle à condition que le champs de gravité ne soit pas nul ! C'est peut-être aussi ce qu'avait pressenti Albert Einstein mais sans parvenir à le démontrer puisqu'il s'était imposé à lui-même le contraire !

  Le résultat sur les mesures de la vitesse de la lumière dans le vide montre pourtant que celle-ci est constante ! En effet à cause de la vitesse de passage du temps qui se modifie dans un champs de gravité nous avons "l'impression" de mesurer toujours la même célérité lumineuse. Ainsi lors de la mesure V devient Co, corrélativement Vo devient Co et V1 devient aussi une vitesse transformée de manière équivalente.

  Comme du reste le champs de gravité ne peut être nul à aucun endroit de l'Univers, car le moindre instrument de mesure génère un champs de gravité, alors les opérations de transformations de Lorentz masquent la Loi de Passage du Temps qui devrait s'appliquer dans les calculs des mesures !

  Plus précisément les transformations de Lorentz permettent de calculer l'invariance de la vitesse de la lumière et à contrario elles permettent aussi de montrer que les dimensions de temps et d'espace varient dans les mêmes proportions.

  Quoiqu'il en soit, pour ne pas nous perdre, nous allons "faire comme si" la vitesse de la lumière dans le vide était réellement constante, puisqu'elle semble l'être par la mesure.







 

Dernière modification le : 06/02/2022 @ 18:26
Catégorie : Lumière

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